RDC,Ville de Goma /Nord kivu info@scc-rdc.org
PLAN LOCAL DE LA SECURITE, OUTILS CONTRIBUTIF A LA RESTAURATION DE LA SECURITE ET LA STABILITE DANS LA CHEFFERIE DE BUKUMU, EN PROVINCE DU NORD-KIVU A L’EST DE LA RDC

La chefferie de Bukumu est comptée parmi les entités de la Province du Nord-Kivu ayant une superficie de 333km2sur laquelle 170 km2 sont occupés par le Parc National des Virunga et 163 km2 occupés pour les activités humaines (habitation et champs) dans le Territoire de Nyiragongo à l’Est de la République Démocratique du Congo. C’est sur ces 163 km2, une partie dévastée par l’éruption volcanique de 2022 et construction des abris pour les personnes déplacées internes.  Les populations de cette entité constituent une main d’œuvre importante susceptible de changer le potentiel en richesses qui vivent de l’agriculture et des petits commerces. Elles ont toujours exprimé leur volonté et leur disponibilité à œuvrer pour la paix dans leur entité et le développement de la région.

 

Cependant, en dépit de leur disponibilité et leur bravoure, la chefferie de Bukumu présente encore une image décevante depuis sa création, cette entité n’a pas des sources d’eau et des rivières pour desservir sa population eau potable, pour s’approvisionner à cette denrée rare, les femmes, les filles, les hommes et garçons sont appelés à faire des longues distances de plus de 5Km selon les témoignages des personnes interrogées. Cette entité est en territoire de Nyiragongo. Il sied de préciser que cette entité regorge un nombre important des sites des personnes déplacées au Nord-Kivu suite à la guerre entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et le M23 en territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Les Personnes Déplacées Internes vivent dans des conditions inhumaines et de précarité. L’activisme des groupes armés dans cette partie n’est pas sans conséquences. C’est notamment les cas de violences sexuelles, le déplacement forcé des populations, présence des sites de déplacés, les enfants orphelins, tueries, la malnutrition, des affrontements réguliers entre les groupes armés. Ces affrontements pèsent lourdement sur la vie des paisibles citoyens et sur le développement de l’entité. On enregistre des enrôlements des jeunes dans les forces et groupes armés, vol des biens des citoyens et pillages systématiques des ressources naturelles, la destruction des infrastructures sociales, la dépravation des mœurs et traumatismes, la recrudescence des maladies, la hausse du taux d’analphabétisme et le retard scolaire, la circulation et le trafic des armes légères ainsi que des déplacements massifs des populations.

L’ONG Save Communities in Conflicts remercie grandement le partenaire financier la GIZ pour l’appui accordé via le projet PROPAIX II dans le cadre de la mise en œuvre du projet de « Soutien à la Gouvernance Sécuritaire Local en chefferie de Bukumu » ayant permis aux renforcements des capacités des agents des services de sécurité, des autorités locales, des membres de la société civile, les femmes, les jeunes, personnes déplacées internes et les leaders communautaires à identifier les problèmes sécuritaires de l’entité et des solutions pour la restauration de la sécurité et stabilité.

Les gaps sont encore énormes dans cette entité.

La chefferie de Bukumu est comptée parmi les entités de la Province du Nord-Kivu ayant une superficie de 333km2sur laquelle 170 km2 sont occupés par le Parc National des Virunga et 163 km2 occupés pour les activités humaines (habitation et champs) dans le Territoire de Nyiragongo à l’Est de la République Démocratique du Congo. C’est sur ces 163 km2, une partie dévastée par l’éruption volcanique de 2022 et construction des abris pour les personnes déplacées internes.  Les populations de cette entité constituent une main d’œuvre importante susceptible de changer le potentiel en richesses qui vivent de l’agriculture et des petits commerces. Elles ont toujours exprimé leur volonté et leur disponibilité à œuvrer pour la paix dans leur entité et le développement de la région.

 

Cependant, en dépit de leur disponibilité et leur bravoure, la chefferie de Bukumu présente encore une image décevante depuis sa création, cette entité n’a pas des sources d’eau et des rivières pour desservir sa population eau potable, pour s’approvisionner à cette denrée rare, les femmes, les filles, les hommes et garçons sont appelés à faire des longues distances de plus de 5Km selon les témoignages des personnes interrogées. Cette entité est en territoire de Nyiragongo. Il sied de préciser que cette entité regorge un nombre important des sites des personnes déplacées au Nord-Kivu suite à la guerre entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et le M23 en territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Les Personnes Déplacées Internes vivent dans des conditions inhumaines et de précarité. L’activisme des groupes armés dans cette partie n’est pas sans conséquences. C’est notamment les cas de violences sexuelles, le déplacement forcé des populations, présence des sites de déplacés, les enfants orphelins, tueries, la malnutrition, des affrontements réguliers entre les groupes armés. Ces affrontements pèsent lourdement sur la vie des paisibles citoyens et sur le développement de l’entité. On enregistre des enrôlements des jeunes dans les forces et groupes armés, vol des biens des citoyens et pillages systématiques des ressources naturelles, la destruction des infrastructures sociales, la dépravation des mœurs et traumatismes, la recrudescence des maladies, la hausse du taux d’analphabétisme et le retard scolaire, la circulation et le trafic des armes légères ainsi que des déplacements massifs des populations.

L’ONG Save Communities in Conflicts remercie grandement le partenaire financier la GIZ pour l’appui accordé via le projet PROPAIX II dans le cadre de la mise en œuvre du projet de « Soutien à la Gouvernance Sécuritaire Local en chefferie de Bukumu » ayant permis aux renforcements des capacités des agents des services de sécurité, des autorités locales, des membres de la société civile, les femmes, les jeunes, personnes déplacées internes et les leaders communautaires à identifier les problèmes sécuritaires de l’entité et des solutions pour la restauration de la sécurité et stabilité.

Les gaps sont encore énormes dans cette entité.

La chefferie de Bukumu est comptée parmi les entités de la Province du Nord-Kivu ayant une superficie de 333km2sur laquelle 170 km2 sont occupés par le Parc National des Virunga et 163 km2 occupés pour les activités humaines (habitation et champs) dans le Territoire de Nyiragongo à l’Est de la République Démocratique du Congo. C’est sur ces 163 km2, une partie dévastée par l’éruption volcanique de 2022 et construction des abris pour les personnes déplacées internes.  Les populations de cette entité constituent une main d’œuvre importante susceptible de changer le potentiel en richesses qui vivent de l’agriculture et des petits commerces. Elles ont toujours exprimé leur volonté et leur disponibilité à œuvrer pour la paix dans leur entité et le développement de la région.

 

Cependant, en dépit de leur disponibilité et leur bravoure, la chefferie de Bukumu présente encore une image décevante depuis sa création, cette entité n’a pas des sources d’eau et des rivières pour desservir sa population eau potable, pour s’approvisionner à cette denrée rare, les femmes, les filles, les hommes et garçons sont appelés à faire des longues distances de plus de 5Km selon les témoignages des personnes interrogées. Cette entité est en territoire de Nyiragongo. Il sied de préciser que cette entité regorge un nombre important des sites des personnes déplacées au Nord-Kivu suite à la guerre entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et le M23 en territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Les Personnes Déplacées Internes vivent dans des conditions inhumaines et de précarité. L’activisme des groupes armés dans cette partie n’est pas sans conséquences. C’est notamment les cas de violences sexuelles, le déplacement forcé des populations, présence des sites de déplacés, les enfants orphelins, tueries, la malnutrition, des affrontements réguliers entre les groupes armés. Ces affrontements pèsent lourdement sur la vie des paisibles citoyens et sur le développement de l’entité. On enregistre des enrôlements des jeunes dans les forces et groupes armés, vol des biens des citoyens et pillages systématiques des ressources naturelles, la destruction des infrastructures sociales, la dépravation des mœurs et traumatismes, la recrudescence des maladies, la hausse du taux d’analphabétisme et le retard scolaire, la circulation et le trafic des armes légères ainsi que des déplacements massifs des populations.

L’ONG Save Communities in Conflicts remercie grandement le partenaire financier la GIZ pour l’appui accordé via le projet PROPAIX II dans le cadre de la mise en œuvre du projet de « Soutien à la Gouvernance Sécuritaire Local en chefferie de Bukumu » ayant permis aux renforcements des capacités des agents des services de sécurité, des autorités locales, des membres de la société civile, les femmes, les jeunes, personnes déplacées internes et les leaders communautaires à identifier les problèmes sécuritaires de l’entité et des solutions pour la restauration de la sécurité et stabilité.

Les gaps sont encore énormes dans cette entité.


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